
Depuis le 1er janvier, l’Agence française pour la biodiversité et l’Office national de la chasse et de la faune sauvage sont regroupés au sein du nouvel Office français de la biodiversité.
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Communiqué de presse - Paris le 12 octobre 2018
Les deux ourses lachées en Béarn n’ont pas véhiculé de tiques porteuses de la « TBE »
A la suite du récent lâcher de deux ourses originaires de Slovénie en Béarn, le syndicat ovin de l’Ariège s’est inquiété, dans un communiqué en date du 11 octobre dernier, d’éventuels risques sanitaires liés à la maladie dite « TBE », ou encéphalite à tiques.
Lors des examens réalisés sur les deux animaux en question, à l’issue de leur capture, par les équipes françaises composées de techniciens et de vétérinaires, une recherche systématique de tiques a été effectuée en vue d’analyses mais aucune tique n’a été trouvée sur le corps de l’une et l’autre ourses capturées.
Les deux femelles ont néanmoins fait l’objet d’un traitement acaricide, prodigué par le vétérinaire français présent sur place. Ce traitement garantit que toute tique éventuellement présente sur les ourses a été tuée et n’était donc plus en capacité à transmettre le virus lors de l’arrivée des animaux sur le sol français.
En outre, les ours ne sont pas les réservoirs du virus responsable de l’encéphalite à tiques. Il est rappelé que des tiques sont présentes de manière habituelle dans de nombreuses régions de France et peuvent transmettre d’autres maladies. Il convient par principe d’adopter les bons gestes pour éviter les piqûres et en cas de piqûres, limiter la durée d’attachement des tiques sur le corps (port de vêtements couvrants, examen de la peau à la recherche de tiques au retour du travail ou des loisirs en extérieur).
Au vu de ces éléments, l’ONCFS est aujourd’hui en capacité d’écarter tout risque de transport de cette maladie jusqu’en France, via les ourses Claverina et Sorita.
Pour télécharger le communiqué de presse :
Mise à jour le 12/10/18